J’ai participé à un rassemblement des salariés de Fonderies de Bretagne qui sont venus devant l’Assemblée nationale après avoir manifesté devant le siège de Renault à Boulogne-Billancourt le matin.
Je suis solidaire de ces salariés victimes d’une délocalisation décidée par Renault, comme ceux de la SAM en 2022.
Les donneurs d’ordre, surtout quand ce sont des grands groupes français largement financés par l’argent public, ont des responsabilités envers les salariés et les sous-traitants.
C’est dans ce contexte que mon groupe LFI-NFP a élaboré un plan d’urgence pour sortir de la crise automobile et que je questionnerai en fin d’après midi les dirigeants de Renault auditionnés en commission des affaires économiques.