Les agriculteurs de notre pays veulent vivre de leur travail et ne pas souffrir de la concurrence déloyale provoquée par les traités de libre-échange.
Et pourtant, la Commission Européenne tente de forcer l’accord du Mercosur, inédit par son ampleur. Le gouvernement et même le Président Macron disent s’y opposer. Si c’est vraiment le cas, qu’ils cessent d’essayer d’empêcher les députés d’en débattre. Qu’ils laissent la représentation nationale s’exprimer sur la ratification du Mercosur, comme ce que propose mon groupe LFI-NFP lors de sa niche le 28 novembre prochain.
Je demande au gouvernement et au Président de la République d’user de tous les moyens dont ils disposent pour protéger notre agriculture et faire échouer l’accord Mercosur, quitte à assumer l’opposition avec la Commission Européenne.